Le vent dit : comment pourrais-je t’aider, moi qui suis si faible que je mon existence s’arrête dès lors que j’interromps mon mouvement ?
L’eau dit : comment pourrais-je t’aider, moi qui ne peux rien sans l’activité du vent, sans l’apport du ciel ? Le feu de la colère pleure et en pleurant, devient eau. Vois-tu, dit-il, quand je m’éteins, j’ai tout détruit…
ne reste que de la poussière. Comment pourrais-je t’aider ?